2015, 1H57, couleur, Grande Bretagne -Irlande, version originale sous-titrée en français,
Vendredi 23 juin 2023 à 20h15
Bibliothèque Saint Corneille – Compiègne
Entrée gratuite
Séance animée Willy Le Guil
Réalisateur
Crowley John
Acteurs
Saoirse Ronan Eilis
Hugh Gormley Priest
Brid Brennan Miss Kelly
McGrath MaeveMary
SYNOPSIS
Dans les années 50, Eilis Lacey, aidée par le père Flood, un prêtre irlandais de Brooklyn, quitte son Irlande natale, espérant trouver un avenir meilleur aux Etats-Unis. Employée dans une petite boutique, la jeune femme, studieuse, vit dans la modeste et sérieuse pension de famille tenue par miss Kelly et participe à la vie de la communauté irlandaise de Brooklyn. Elle fait bientôt la connaissance de Tony Fiorello, dont elle tombe rapidement amoureuse. Mais, quelque temps après leur mariage, Eilis apprend la mort de sa soeur et retourne en Irlande, pour soutenir sa mère. C’est là qu’elle fait la connaissance de Jim Farrell…
Ciné CLEP : LAS VEGAS 21
2008, 2h02, couleur, États-Unis, version originale sous-titrée en français,
Vendredi 19 mai 2023 à 20h15
Bibliothèque Saint Corneille – Compiègne
Entrée gratuite
Séance animée Aurore Gebleuxl
Réalisateur : Robert Luketic
Acteurs :
Jim Sturgess Ben Campbell
Kate Bosworth Jill Taylor
Laurence Fishburne Cole Williams
Kevin Spacey Micky Rosa
Synopsis
Ben Campbell, étudiant du prestigieux MIT, partage son temps entre ses études et les petits boulots qui lui permettent de financer ses frais de scolarité. Un jour, quelques condisciples lui proposent de participer à un jeu bien plus lucratif : tous les week-ends, cette petite bande de mathématiciens hors pair se rend à Las Vegas pour jouer au black-jack sous de fausses identités, avec des règles qui ne doivent plus rien au hasard. Guidés par un professeur, Micky Rosa, un génie des statistiques, ils ont compris comment prévoir les cartes et communiquer entre eux pour rafler de très grosses mises. Séduit par l’argent facile, une vie de rêve et Jill, sa très belle équipière, Ben multiplie les défis…
Ciné CLEP : OPÉRATION DRAGON (Enter the dragon)
1973, 1h40, couleur, Hong Kong / États-Unis, version originale sous-titrée en français
Vendredi 7 avril 2023 à 20h15
Bibliothèque Saint Corneille – Compiègne
Entrée gratuite
Séance animée par Willy Le Guil
Réalisateur : Robert Clouse
Acteurs
Bruce Lee, John Saxon, Ahna Capri, Jim Kelly
Synopsis
Les services de renseignements américains recrutent trois experts en arts martiaux, un Chinois, Lee, un Noir, Williams, et un Blanc, Roper. Tous trois profitent d’un championnat de karaté, organisé par le terrible Han sur son île-forteresse de la baie de Hongkong, pour s’introduire dans la place et rassembler les preuves des multiples trafics qui enrichissent Han. A peine se sont-ils familiarisés avec la discipline tyrannique qui régit la vie sur l’île que les trois champions sont démasqués. Williams paie sa curiosité de sa vie, mais ses collègues n’ont pas dit leur dernier mot : la guerre est déclarée entre les infâmes trafiquants et les valeureux redresseurs de torts…
Ciné CLEP : Le Labyrinthe de Pan (El Laberinto del fauno)
Vendredi 17 mars 2023 à 20h15
Bibliothèque Saint Corneille – Compiègne
Entrée gratuite
Séance animée par Antoine Torrens et Jean-Christophe Tolg
Réalisateur : Guillermo del Toro, 2006
Synopsis
En 1944, en Espagne, alors que la répression franquiste bat son plein. Carmen, une jeune veuve, s’est récemment remariée avec Vidal, un capitaine de l’armée franquiste froid et autoritaire. Elle le rejoint dans sa maison avec Ofelia, sa fille. Mais l’enfant se fait difficilement à sa nouvelle vie. Tandis que sa mère, affaiblie par sa deuxième grossesse, garde le lit, la petite explore les environs. Dès la première nuit, une fée lui apparaît et la guide jusqu’à un labyrinthe, derrière la maison. Là, Ofelia rencontre un faune. La créature lui révèle qu’elle est peut-être la princesse disparue d’un royaume magique. Mais pour s’en assurer, la fillette devra s’acquitter de trois épreuves…
Critique
Réalisateur inspiré de Hellboy, Guillermo del Toro renouait ici avec la veine de L’Echine du diable, thriller fantastique sur fond de guerre d’Espagne. Cette fois, l’action se déroule en 1944 et les républicains ne sont plus qu’une poignée de résistants maquisards. Obligée de suivre sa mère, remariée avec un cruel capitaine franquiste, la petite Ofelia n’aime ni sa nouvelle vie ni sa nouvelle demeure, un vieux moulin aux allures de chambre de torture. Dans la forêt alentour, elle découvre un ancien labyrinthe où un faune aux membres boisés, Pan, lui révèle ses origines enchantées et la soumet à trois épreuves…
Grâce à de remarquables effets spéciaux, le film mixe avec fluidité la fiction historique et le conte chimérique, multipliant les passerelles entre réel et merveilleux, les créatures magiques et les monstres humains. Dans ce monde cauchemardesque et féerique à la fois, les sons aussi prennent une résonance singulière.
Cette envoûtante fable horrifique est aussi une parabole sur le fascisme. Droit dans ses bottes, Sergi López (étonnant) incarne un militaire fétichiste qui voit dans la souffrance, infligée et subie, un gage de virilité. Plus sombre que le voyage de l’Alice de Lewis Carroll, personnage auquel les souliers vernis et la robe bouffante de la fillette font référence, le parcours initiatique d’Ofelia passera peut-être par le deuil. Mais pas celui du merveilleux. — Mathilde Blottière (Télérama)
Ciné CLEP : Mon oncle Benjamin
Vendredi 10 février 2023 à 20h15
Bibliothèque Saint Corneille – Compiègne
Entrée gratuite
Séance animée par Didier Clatot
Réalisateur
Édouard Molinaro, 1969
Acteurs
Jacques Brel : Le docteur Benjamin Rathery
Claude Jade : Manette
Rosy Varte : Bettine Machecourt
Lyne Chardonnet : Arabelle Minxit
Bernard Blier : Le marquis de Cambyse
Paul Frankeur : Le docteur Minxit
Bernard Alane : le vicomte de Pont-Carré
Mestral Armand : Machecourt
Alfred Adam : Le sergent
Carlo Alighiero : L’intendant du marquis
Robert Dalban : Jean-Pierre – l’aubergiste
Paul Préboist : Le notaire Parlenta
Synopsis
Benjamin Rathery exerce son art de médecin dans la riante campagne de Clamecy, sous le règne de Louis XV. Il soigne gratuitement les pauvres et se dédommage en faisant largement payer les riches. Un jour, il provoque le marquis de Cambyse, qui se prépare à lui faire payer chèrement son impudence..
Critique
Au XVIIIe siècle, Benjamin Rathery est un médecin de campagne pas comme les autres. Il nargue la noblesse, soigne bénévolement les pauvres et court volontiers le jupon. Un jour, sa soeur se met en tête de le marier…
Au lendemain de 1968, Jacques Brel s’était passionné pour ce personnage. Il y a du Cyrano dans Benjamin : grande gueule, mépris de l’argent, amour de la liberté. Mais un Cyrano qui aime la bonne chère et pour qui la chair est loin d’être triste. Certains, à l’époque, ont vu de la grivoiserie dans des séquences où éclataient, en fait, une vraie santé, une salubre insolence — le moment hilarant où Bernard Blier, en caricature de vieux marquis, doit se déculotter en public. Ces aventures nous sont contées à bride abattue, sans temps mort, et permettent de retrouver une savoureuse galerie de comédiens à trogne : Alfred Adam, Paul Préboist, Robert Dalban… Si l’on rit souvent, la paillardise se teinte aussi de mélancolie, comme dans cette très belle scène des adieux du docteur Minxit à ses amis. Mon oncle Benjamin reste un des meilleurs films d’Edouard Molinaro. — Bernard Génin (Télérama)
Ciné CLEP : IMMORTEL (AD VITAM)
En parallèle à l’exposition Enki Bilal (Espace Jean Legendre)
Film français (2002). Animation, Science fiction. Durée : Date de sortie française : 14 Mars 2004 Réalisateur : Enki Bilal d’après son oeuvre Interprètes : Linda Hardy (Jill Bioskop), Charlotte Rampling (Elma), Thomas Kretschmann (Nikopol), Thomas M. Pollard (Horus d’Hiéraknopolis), Yann Collette (Froebe), Frédéric Pierrot (John), Jean-Louis Trintignant (Jack turner), Corinne Jaber (Lily Liang), Joe Sheridan (Kyle Allgood) Production : Téléma Productions, France, TF1 Films Production, France Distribution : UFD, France
L’histoire :
New York 2095. Une pyramide flottante au-dessus de Manhattan… Une population de mutants, d’extraterrestres, d’humains, réels ou synthétiques… Une campagne électorale. Un serial killer boulimique qui cherche un corps sain et un dieu à tête de faucon qui n’a que sept jours pour préserver son immortalité. Un pénitencier géostationnaire qui perd un dissident subversif congelé depuis trente ans et une jeune femme sans origine connue, aux cheveux et aux larmes bleus… Trois noms : Horus, Nikopol, Jill… Trois êtres aux destins convergents où tout est truqué : les voix, les corps, les souvenirs. Tout, sauf l’amour qui surgit comme une délivrance.
Pour son troisième film Enki Bilal fait une adaptation de sa trilogie Nikopol appuyé par le producteur Charles Gassot. Le point fort du film c’est bien sûr le visuel : décor, maquillage, costumes, lumières, accessoires. Ne vous attendez pas à voir une adaptation directe et fidèle de la bande dessinée car Enki Bilal qui aime les anachronismes a préféré s’en servir de matériaux de départ pour créer une nouvelle version de sa vision de la trilogie Nikopol.
Les personnages
Pour ce film, Enki Bilal a fait le choix d’utiliser des personnages en trois dimensions ce qui abouti à un film où on ne compte que trois personnages représentés par des humains. Il faut dire que par moment ces personnages virtuels manquent de naturels à l’instar de ceux du film Final Fantasy. On pourrait même y trouver une certaine incohérence artistique. En effet que les dieux égyptiens perchés dans leur pyramides soient en3D stylisée est plutôt intéressant puisqu’ils sont ainsi clairement différenciés des personnages humains et extra-terrestres. Mais ensuite, tous ces personnages en 3d font perdre un peu de cet intérêt. D’autant que la présence humaine dans ce film très visuel et graphique aurait permis de rendre moins artificielles certaines parties du film.
Lors d’une rencontre à la fnac Bordeaux, Enki Bilal a expliqué qu’il avait choisi d’utiliser autant de personnages 3D afin de renforcer le côté hybride du film et des personnages. Dans cette société, tout les personnages peuvent être mutants ou venir d’ailleurs. Donc, pour lui il n’y a pas d’incohérence et il est satisfait par les choix qui ont été fais sur le style des personnages
Un univers Bigarré
Le film baigne dans un New York réparti sur trois niveaux au sein desquels se répartissent les humains et les non-humains car ce monde est peuplé de mutants et humanoïdes en tout genre. Cette grande variété de la faune est aussi le prétexte à la manifestation de comportements étonnants. Requin marteau mutant qui se déplace dans la plomberie, petits personnages mous et translucides qui proposent du savon ou un pistolet (c’est au choix selon ce qu’on veut nettoyer) et émettant des sons incompréhensibles avec une petite voix.
Critique de la société
Le film est l’occasion de critiquer la société de consommation moderne avec ses grands groupes internationaux contrôlant des technologies de pointes. Eugenics est une société fictionnelle de Immortel qui manipule les gênes et que l’on sent capable des pires choses ; elle va jusqu’à tuer des policiers pour préserver ses intérêts. Pour Enki Bilal que le monde médical fascine, c’est l’occasion de pointer du doigt certaines grandes tendances de notre société qui fait la promotion du non-vieillissement et cherche à prolonger la vie.
Verdict
Si vous n’êtes pas du genre frileux, c’est un film atypique qui mélange allégrement différentes techniques visuelles (cinéma traditionnel, images de synthèse, compositing pour mélanger toutes les différentes sources sans parler du magnifique travail fourni par les équipes de Duran qui est une société française tout de même et pas des moindres). Linda Hardy s’en sort plutôt bien et le film bénéficie de la présence de Charlotte Rampling ainsi que d’un personnage de synthèse manipulé par Jean-louis Trintignat. Comme ce film est une première dans le cinéma européen on peut saluer sa venue et le soutenir même si il n’est pas parfait d’autant qu’il échappe aux fautes goût de certains Batman par exemple.
Laurent Berry (dvdcritiques.com)
Ciné CLEP : JULIE (EN 12 CHAPITRES) (Verdens Verste Menneske)
Vendredi 18 novembre 2022 à 20h15
Bibliothèque Saint Corneille – Compiègne
Entrée gratuite
Séance animée par Amy Hidalgo
Réalisateur : Joachim TRIER
Synopsis :
Julie, âgée de trente ans, est instable. Elle passe de la médecine à des études de psychologie. Elle s’essaie ensuite à la photographie, avec le soutien de sa mère, étonnée, mais très compréhensive, pour finalement travailler dans une librairie. C’est une jeune femme sympathique, alerte, qui refuse d’avoir des enfants et la routine. Elle fréquente Aksel, un dessinateur à succès de 45 ans qui voulait devenir parent avec elle. Julie rencontre Eivind, son futur amant lors d’une soirée de mariage alcoolisé où elle s’est incrustée sans connaitre personne. Elle quitte Aksel pour Eivind, en espérant une fois de plus de donner un nouveau sens à sa vie…
Acteurs :
Renate Reinsve
Anders Danielsen
Maria Grazia
Critique :
Allant et grâce poétique. Ce sont les qualités premières de cette comédie romantique et littéraire. La Julie du titre est dépeinte à travers douze chapitres, comme dans un roman. Douze moments qui englobent plusieurs années de son existence, autour de la trentaine. Dans le prologue, on apprend que la demoiselle était dans sa jeunesse une étudiante brillante, qui a suivi des études de médecine puis, insatisfaite, a changé de branche, en voulant devenir psychologue. Avant de changer à nouveau pour se lancer dans la photographie. Une pointe d’ironie filtre, laissant deviner une touche-à-tout qui papillonne, ne sachant pas exactement ce qu’elle veut.
C’est à la fois vrai et faux. Les facettes de Julie sont multiples. Joachim Trier fait d’elle un portrait psychologique et sentimental subtil, à travers son travail, ses liens de famille et surtout deux histoires d’amour successives. Le film est parfois mordant, proche de la satire sociologique. Mais il s’attache surtout à explorer la vie intérieure de Julie. Un être de contradictions. Qui brave la pression sociale l’astreignant à être mère mais peine à s’accomplir. Qui a du talent dans l’écriture mais renonce à le capitaliser. Un personnage solaire et mélancolique, indissociable de Renate Reinsve, révélation pleine de sensualité, Prix d’interprétation à Cannes, qu’on ne se lasse pas de suivre dans ses déambulations, à travers le temps et la ville aérée d’Oslo.
Captivant et fluide, Julie (en 12 chapitres) bascule dans son dernier tiers, offrant soudain une partition plus grave. Joachim Trier se refuse pourtant à toute noirceur, préférant se tourner du côté d’une sagesse qui n’a rien de mièvre. Bien malin qui peut dire à la fin si le trajet de Julie aboutit à une forme de gâchis. Ou à l’épanouissement discret et neuf d’un dandysme au féminin. Jacques Morice (Télérama)
Ciné Clep : La Vie Moderne
Vendredi 14 octobre 2022 à 20h15
Bibliothèque Saint Corneille – Compiègne
Entrée gratuite
Séance animée par Catherine Raucy
Réalisateur : Raymond Depardon
Synopsis :
Loin de l’agitation en faveur de la modernité à tout crin, le photographe et documentariste Raymond Depardon plonge dans la France rurale qui l’a vu grandir.
Critique :
Le royaume des morts ? C’est au moins une région reculée qu’on approche, devancé par une musique mélancolique de Fauré. Prologue de toute beauté sur une route sinueuse de campagne avec, tout au bout, une ferme. Bienvenue dans le dernier opus d’une trilogie du monde rural au long cours. Du temps a passé, certains sont décédés (la délicieuse Marcelle Brès). Marcel, l’aîné des Privat (84 ans !), ne peut plus mener les bêtes au pré sinon aux beaux jours. Il y a bien de bonnes nouvelles, des naissances, le neveu des Privat qui s’est trouvé une femme et dont l’exploitation tourne bien. Mais le sentiment dominant est plutôt celui d’une précarité accrue.
On voit les fermes cévenoles ensevelies sous la neige, on apprend qu’il y a eu une épidémie. Lorsque Raymond Privat regarde sa vache paralysée en train de mourir, il a l’air aussi terrassé qu’elle. C’est bien la vie moderne, mais avec une relation immémoriale à la nature. Le film regorge de détails : le verre Duralex pour boire le café, une marque de cigarettes antédiluvienne, le « klong » de l’horloge. Et cet homme sur son tracteur, qui acquiesce sans vraiment répondre aux questions, ne l’a-t-on pas vu ailleurs, dans un vieil album de famille ? Mais il est tard, il faut se rentrer. On reprend la route qui descend vers la vallée, Raymond Privat nous salue de loin, et cette fois la caméra filme depuis l’arrière. Mouvement de détachement difficile, presque d’arrachement. — Jacques Morice (Télérama)
Ciné Clep : Programmation 2022 – 2023
Séance de cinéma avec présentation, discussion et analyse filmique
Les séances se tiennent Bibliothèque Saint Corneille, salle Michèle Le Chatelier– Compiègne
Entrée gratuite
–> Vendredi 23 septembre 2022 à 20h15
FENÊTRE SUR COUR (Rear Window)
Alfred Hitchcock, 1954, 1h50, couleur, États-Unis, VOSTF, policier, thriller
Avec Grace Kelly, James Stewart, Raymond Burr
Immobilisé après un accident, un photographe est témoin d’un meurtre
Séance animée par Didier Clatot
–> Vendredi 14 octobre 2022 à 20h15
LA VIE MODERNE
Raymond Depardon, 2008, 1h30, couleur, France, documentaire
Une plongée dans la vie de paysans de Haute-Loire
Séance animée par Catherine Raucy
–> Vendredi 25 novembre 2022 à 20h15
JULIE (EN 12 CHAPITRES) (Verdens Verste Menneske)
Joaquim Trier, 2021, 2h08, couleur, Norvège, version originale sous-titrée en français, comédie dramatique
Avec Renate Reinsve, Anders Danielsen Lie[]
Les tribulations amoureuses d’une jeune trentenaire
Séance animée par Amy Hidalgo
–> Vendredi 9 décembre 2022 à 20h15
LES SEPT MERCENAIRES (The Magnificent Seven)
John Sturges, 1960, 2h08, couleur, États-Unis, version originale sous-titrée en français, western
Avec Yul Brynner, Eli Wallach, Steve McQueen, James Coburn[]
Au Mexique, des paysans sont rançonnés par des hors-la-loi
Séance animée par Amy Hidalgo
–> Vendredi 20 janvier 2023 à 20h15
En parallèle à l’exposition Enki Bilal (Espace Jean Legendre)
IMMORTEL (AD VITAM)
Enki Bilal, 2004, 1h42, couleur, France, VF, animation, science-fiction
Avec []Linda Hardy, Charlotte Rampling, Thomas Kretschmann
2095. Le dieu Horus vit sur un vaisseau au-dessus de New York
Séance animée par Antoine Torrens
–> Vendredi 10 février 2023 à 20h15
MON ONCLE BENJAMIN
Édouard Molinaro, 1969, 1h30, couleur, France/Italie, comédie, film historique
Avec Jacques Brel, Claude Jade, Bernard Blier
Sous le règne de Louis XV, un médecin libre penseur défie la noblesse
Séance animée par Didier Clatot
–> Vendredi 17 mars 2023 à 20h15
LE LABYRINTHE DE PAN (El laberinto del fauno)
Guillermo del Toro, 2006, 1h42, couleur, Espagne/Mexique, version originale sous-titrée en français, conte fantastique
Avec []Ivana Barquero, Sergi López, Doug Jones
Espagne, 1944. Une jeune fille se découvre princesse d’un monde magique
Séance animée par Antoine Torrens et Jean-Christophe Tolg
–> Vendredi 7 avril 2023 à 20h15
OPÉRATION DRAGON (Enter the dragon)
Robert Clouse, 1973, 1h40, couleur, Hong Kong / États-Unis, version originale sous-titrée en français, policier, thriller, action
Avec Bruce Lee, John Saxon, Jim Kelly
Un adepte des arts martiaux s’oppose à un narcotrafiquant
Séance animée par Willy Le Guil
–> Vendredi 19 mai 2023 à 20h15
LAS VEGAS 21 (21)
Robert Luketic, 2008, 2h02, couleur, États-Unis, version originale sous-titrée en français, drame, thriller
Avec []Jim Sturgess, Kevin Spacey, Kate Bosworth
Une stratégie pour gagner au blackjack bouleverse la vie d’un étudiant
Séance animée par Aurore Gebleux
–> Vendredi 23 juin 2023 à 20h15
BROOKLYN (2015)
JOHN CROWLEY
Séance animée par Willy Le Guil
Ciné CLEP soirée CHRIS MARKER
Vendredi 13 mai 2022 à 20h15
IMMEMORY (CD-Rom interactif) suivi de LA JETÉE
Bibliothèque Saint Corneille – Compiègne
Entrée gratuite
Séance animée par Jessie Warlop
Synopsis
La Troisième Guerre mondiale a entièrement détruit Paris. Les rares survivants se terrent dans les souterrains de Chaillot, apeurés et désespérés par l’ampleur de la dévastation. Au terme d’une longue période de réflexion, les rescapés mettent sur pied un plan audacieux. Ils décident d’appeler le passé et le futur à la rescousse du présent en envoyant des émissaires à travers le temps pour quémander de l’aide. Un homme est choisi pour voyager dans le passé en raison de sa fixation obsédante sur un souvenir bien particulier : le visage d’une femme sur la jetée d’Orly, quelques instants avant une mort violente…